Mon stage de polygraphe
Dans ce métier, nous faisons des enseignes, découpes d’autocollants, totems publicitaires, vitrines et tout ce qui est dans le numérique, la signalisation et la décoration.
Pendant ma semaine de stage, j’ai pu découvrir le métier de plygraphe. j’ai fait pas mal de choses, comme aider mon supérieur à coller des autocollants, donc aller sur place. J’ai éplucher des autocollants puis nous avons mis un transfert par-dessus pour pouvoir le recoller sur la voiture sans problème. J’ai pu parler avec des clients directement, faire des repérages pour pouvoir tout préparer à l’atelier, mais ça, c’était exceptionnel car normalement les clients nous envoient toutes les mesures et tout ce dont ils ont besoin dans un mail.
Trois objets que je n’utilise pas tous les jours:
– un transfert: ça sert à transférer plusieurs petits autocollants au but.
– les autocollants: ça sert à décorer ou à être utilisés pour faire de la signalisation.
– une racle: pour enlever les bulles dans les autocollants.
L’entreprise dans laquelle j’étais, n’est pas très grande car il n’y avait pas de personnel, donc on n’était que moi et le patron. C’est un atelier avec des machines d’impression, de découpe et beaucoup de rouleaux d’autocollants, des ordinateurs, des cutters, et plein d’autres outils.
Pour faire ce métier, il faut être social, battant et habile.
Il faut avoir fini l’école obligatoire et avoir un CFC de polygraphe après quatre ans d’apprentissage.
J’ai aimé le fait que les horaires ne sont jamais fixes.
J’ai aimé parler avec les clients.
J’ai aimé posé les autocollants.
J’ai moins aimé le fait d’attendre les clients.
J’ai moins aimé le fait de ne rien pouvoir faire quand il fait trop froid.
Jim