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Les camps de volée 10e 2017

Escalade | Champysports | Voile | Photo | Activités montagne | Evasion Haute-Nendaz | VTT | Jura itinérant | Raquettes & Polysport (Leysin) | Equitation | Cuisine 

Camp escalade

Nous avons fait un trajet d’une heure pour arriver à Chamonix. Quand nous sommes arrivés à la gare, le professeur a fait une explication de cinq minutes. Puis nous avons marché une demi-heure pour arriver où nous allions escalader.

Il y avait sur ce lieu des murs hauts de vingt-cinq mètres pour s’échauffer un peu. Ce jour-là, il faisait légèrement froid et il y avait également du vent.

Nous avons commencé à grimper les murs de vingt-cinq mètres.

Ensuite, le professeur a pris un groupe de deux personnes, dont je faisais partie. Nous nous sommes équipés pour commencer à grimper les septante mètres. Arrivés en haut, nous avons descendu une échelle pour retourner en bas.

A 16h30, on s’est rendus en ville; on avait du temps libre. Nous sommes retournés à la gare où le professeur nous a laissé acheter des souvenirs.

Pour finir, on est rentrés au chalet épuisés.

Fadil, Beatriz, 10VP3





Champysports (à Champéry)

Lundi, en arrivant, nous sommes partis à la pêche et nous devions descendre un long chemin pour parvenir à la mare. Nous avons pu pêcher plusieurs poissons.

Après ça, nous avons fait une course d’orientation par équipes de trois dans la forêt et ses alentours. Il fallait trouer la feuille à chaque poste qui était d’ailleurs bien caché! En tout, il y en avait douze, mais il y en avait un qui ne comptait pas car il servait d’exemple.

Quand ça a été notre tour, nous sommes parties dans le sens opposé des autres groupes en suivant de loin le seul groupe qui avait fait comme nous. On devait passer d’abord un petit pont au-dessus de la mare où nous avions pêché.

Notre course commençait bien, nous avons trouvé tous les postes sans difficulté. Trois garçons étaient devant nous, agacés à l’idée qu’on puisse finir avant eux et qu’ils n’arrivent pas à nous semer. Mais voilà que pourtant, arrivées au poste 8, nous avons cherché la balise cinq minutes durant, sans rien trouver. Nous avons décidé de poursuivre notre chemin et de revenir en fin de course.

Nous avons terminé la course en presque une heure et nous sommes arrivées, mes amies et moi, troisièmes sur huit! La récompense était des sugus.

Inévitablement, il a fallu rentrer au chalet et la remontée a paru longue et épuisante.

Thanh-Mi,Coralie, 10VP3


Camp de voile

Mercredi 13 septembre frileux au camp de voile à Estavayer-le-Lac.

Madame Golaz avait préparé un rallye dans la ville; nous étions par équipes de quatre. C’était très amusant: on devait se prendre en photo en mode grenouille.

Nous sommes rentrées vers 12h30, puis nous avons mangé des pâtes. Ça sentait super bon et c’était délicieux.

L’après-midi, nous sommes allés au musée de la « Maison de l’ailleurs » à Yverdon; il n’y avait personne à part notre classe.

Puis les deux maîtres nous ont laissé 45 minutes de liberté dans Yverdon.

A 16h30, nous sommes allés au cinéma. Il n’y avait personne; c’était chouette.

Et le meilleur pour la fin! Nous sommes allés manger une pizza au restaurant.

Pour finir, ce n’était pas un camp de voile car nous n’en avons pas fait mais un camp de pur bonheur et de rigolade pour tout le monde.

Ilenia, 10VP3


Camp de voile, journal de bord

La première chose que je vois ce matin, c’est la valise. Pleine a craquer. le vent souffle dehors. Il pleut. J’ai fait tomber mon verre par terre. Il s’est brisé en mille morceau. Le sol était imprégné de jus d’orange. Je n’était bien réveillée et en retard. Il ne pleuvait plus quand je suis partie. A la gare, tout le monde était là alors on est parti. Le vent faisait siffler le train qui avançait a toute allure dans les villes, et les gares. On a marché 15 minutes avant d’arriver dans le chalet. Il était assez moderne et en face, à un vingtaine de mètres, il y avait le lac. Dans l’après midi, tout le monde se réjouissait. J’avais jamais fait du ski nautique mais on en a pas fait cette fois. Il faisait trop froid. En rentrant, je marche dans une flaque d eau. mon pied est complètement mouillé et je n’ai qu’une paire de baskets. Les arbres dansaient dans le vent et le vent murmurait un souffle léger.

Au milieu de la nuit, j’avais froid. Dans une des armoires de la chambre, il y a des couvertures. Enfin je croyais qu’il y en avait. Je me lève et je vois par la fenêtre les gouttes de pluie qui frappent violemment la vitre. Les toiles d’araignées sont déchirées par la pluie et le vent. C’est une tempête cruelle mais pour nous, c’est un coup de vent. Je frissonne et retourne me coucher, sans couverture et les pieds glacés.

Mathilde, 10VP1


Camp photo

Mercredi, à 10h30, nous nous sommes habillés et, équipés de nos appareils photos, nous sommes montés aux Pléiades à pied. Sur le chemin, il y avait de très beaux paysages, on a même rencontré des vaches et des poneys. Il y avait de nombreuses marches d’escaliers; c’était fatigant. Il avait même commencé à pleuvoir et le temps était venteux.

Quand on est arrivé au restaurant, on avait une magnifique vue sur le Lac Léman et les montagnes.

Ensuite, on a pris beaucoup de photos et on est retournés au chalet.

Deux camarades ont préparé le thé, le sirop et l’eau. On attendait que les boissons viennent. On s’est alors rendu compte que les camarades avaient mis le sirop dans l’eau chaude du thé. Du coup, on  a beaucoup rigolé.

Vendredi, nous sommes sortis à la place de jeux. Il faisait assez froid et l’air était pur. Nous avons commencé à parler de tout et de n’importe quoi, tout en nous balançant. Nous avons passé un bon moment à discuter en admirant la vue sur les montagnes en face du chalet.

Tina, Joao, 10VP3


Activités montagne

Le mercredi matin, on devait se préparer pour aller marcher en montagne pendant trois ou quatre heures. Nous avons marché par groupes; il y avait énormément de boue.

En début d’après-midi, nous avons fait de la trottin’herbe; c’était une bonne expérience, un peu compliquée, mais on s’y habituait.

Le jeudi 14 septembre, nous sommes allés à Parc Aventure à Aigle. Nous avons pris le bus jusqu’à Aigle, et marché une demi-heure. Il pleuvait énormément et on aurait cru à une tempête.

Une fois que nous sommes arrivés là-bas, un moniteur nous a appris à utiliser les mousquetons. Après nous sommes allés sur une piste jaune, la plus facile. Comme il pleuvait toujours, le bois était mouillé et glissait beaucoup. On a continué avec des pistes verte, bleue et rouge.  La piste rouge se nommait « le grand frisson ».

En même temps, on regardait ceux qui faisaient de la tyrolienne. Elle mesurait 28 mètres de long et se terminait par une passerelle de 15 mètres au-dessus du vide.

Après avoir fini l’activité, nous sommes partis en direction de la gare pour remonter au chalet. Sur le chemin du retour, ça glissait beaucoup, quelques personnes sont tombées.

Sandra, Suzie, Esmira, 10VP3


Camp évasion

Mardi après-midi, nous devions aller jusqu’au sommet de la Dent de Nandaz. Nous avons fait la première partie du trajet en télécabine. Quand nous sommes arrivés à la fin de la première montée, nous nous sommes arrêtés le temps de prendre une photo de groupe. En face, nous voyions le reste de ce que nous devions monter et, au sommet, une croix bien distincte qui marquait l’endroit où nous allions nous rendre.

C’était une marche prévue pour environ une heure. Pourtant, elle a duré dix heures.

Au début, tout allait bien mais, après cinq minutes à peine, nous avons dû nous arrêter car certains camarades avaient déjà des problèmes.

Heureusement, un paysage à couper le souffle se déployait  devant nos yeux.

Jeudi, nous sommes allés aux Bains de Saillon. Nous avons pris le car pour y aller. C’était un grand bâtiment avec un bassin rempli d’eau à 35°. Il y avait également un bassin extérieur où l’eau était aux environs de 30° avec une rivière formant un circuit.

Luca, Piotr K., Meryem, 10VP3


Journal de bord (camp évasion)

On vient de se réveiller, on s’apprête à aller déjeuner, mais Vildan et Paul-lou s’embrouillent. M. Delefortrie vient calmer la dispute en poussant Paul-lou contre son armoire dans le coin et ses affaires lui tombent dessus. Après cette bagarre, on va déjeuner au réfectoire. Puis à la fin du déjeuner, on nous explique la suite et on remonte dans les chambres pour se mettre en tenue de sport et se laver les dents. Dehors, on se divise en deux groupes. Un va jouer au ping-pong pendant que l’autre fait de l’escalade. À la fin des deux activités, qui étaient assez bien, on rentre et on mange, ensuite on se prépare pour la marche en montagne. On nous a conseillé de prendre des habits chauds car on sera entre 2200-2400m d’altitude. On se rend en télécabine vers la montagne que l’on doit gravir. Avant de l’escalader, on prend une photo de camp. On se met en route et au bout d’une quinzaine de minutes de monté, on doit déjà faire une pause. Ensuite, on remarche mais il faut déjà refaire une pause. On en profite pour manger et contempler le paysage. Devant nous au premier plan, il y a des rochers entassés les uns sur les autres. Au second plan, il y a Sion, on y voit des maisons et des petits coins d’eau. Et au troisième plan, il y a des montagnes. Derrière nous, le ciel est gris avec quelque maisons  en bois en dessous qui sont entourées de très nombreux sapins équipés d’un magnifique vert foncé.  On se remet en route avec deux personnes en moins car elles n’avaient déjà plus de force. Je suis avec un groupe de quatre autres personnes. Vu que nous sommes plus rapides, on s’éloigne de plus en plus du groupe. Mais le prof tente de nous appeler et on arrive à comprendre que ce n’est pas le bon chemin. Deux de notre groupe de cinq redescendent, donc nous ne sommes plus que trois dont un qui est déjà en haut. Vildan et moi décidons de ne pas écouter le prof et de rejoindre l’autre en haut. On attend le reste des personnes. Ils arrivent du côté du barrage. Quand tout le monde est arrivé au sommet on s’est reposé vingt minutes sur des cailloux fort inconfortables. Après cette pause, on redescend jusqu’au chalet. Au chalet, on s’est douché dans la douche de deux mètres carré. A 18h30, on va manger le souper. À la fin, on nous annonce qu’on pourra regarder la ligue des champions. J’étais super content. A 20h40, on était en bas, on cherchait le match Barca-Juve mais on ne l’a pas trouvé. Alors on a regardé Manchester United – Bâle. On a pu voir que la première mi-temps car les profs voulaient qu’on aille dormir.

Yoan, 10VP1


Camp VTT


Camp Jura itinérant

C’était le mercredi; le soir d’avant on avait dormi dans les tentes; il a fait très froid. Le professeur a réveillé tout le monde avec de la musique hardcore.

Après avoir mangé, on a pris la route; c’était la journée la plus longue du séjour, entre 9 et 11 heures de marche.

Nous avons pique-niqué en pleine montagne, avec une vue magnifique et nous avons repris la marche. On s’est séparés en deux groupes, les rapides et les lents. Arrivés à un certain endroit, on s’est comme un peu perdus…On a trouvé notre chemin grâce à Google Maps, mais une fois que nous avons eu descendu la colline, on s’est rendu compte que c’était le mauvais chemin. Enfin, on a trouvé un panneau qui indiquait le bon chemin.

On s’est réveillé aux environs de 9h. Nous n’avions pas dormi sous tente, mais dans un chalet. On nous a dit une mauvaise nouvelle: on ne pouvait pas aller faire du toboggan car il pleuvait énormément. Nous avons décidé d’aller à notre dernière destination, La Chaux-de-Fonds.

Quand on est arrivés au camping, on nous a annoncé une bonne nouvelle. On n’allait pas dormir sous les tentes mais dans une salle chauffée. Les garçons étaient dans une chambre avec des lits. On a été jalouses, car ils avaient des lits pour les 6 et, nous, on devait dormir par terre!

Après la pizzeria, nous sommes allés au cinéma.

Elif, Blenda, 10VP3



Camp Jura itinérant, journal de bord

Madame Guarino vient toquer à la porte de notre chambre. Il est sept heures moins quart, à huit heure et demie on doit se trouver en bas dans la salle à manger. Je m’habille et je range mes affaires. J’amène mes sacs au rez-de-chaussée où les autres ont déjà déposé les leur. Dehors il pleut très fort, une pluie torrentielle qui inonde le sol. C’est le genre de pluie où on peut sortir dehors pendant deux secondes et on sera complètement mouillé. Aujourd’hui on doit faire qu’une marche de deux heures. Les profs décident qu’on ne va pas partir tant que la pluie ne cesse pas de tomber.

En attendant je joue au UNO avec les autres. Avant de partir il faut charger le bus. Nos affaires se trouvent dans un couloir et il faut passer par une vestiaire, tourner à gauche dans un autre vestiaire et sortir pour arriver jusqu’au bus. On fait une chêne pour que la tâche soit faite le plus rapidement possible. La première personne prend un sac, le passe au suivant, lui au suivant etc. la dernière personne de la chêne passe le sac à monsieur Thorens qui le range dans le bus. Dehors il pleut toujours, mais moins fort. On peut partir. Après une centaine de mètres le vent commence à souffler terriblement fort, la pluie tombe sur nous horizontalement. Je sens chaque goutte comme si quelqu’un me lance un caillou pointu dans le visage. Je tiens la main de Lylah car c’est impossible de marcher tout droit. Après un certain temps mon pantalon est trempé. Je parie qu’on pourrait le presser. Je le sens coller à ma cuisse et mon tibia, c’est froid. Je porte mes gants, mais mes mains sont en train de geler et je ne sens même plus mes orteils. On voit la Chaux-de-Fonds, elle est assez loin, mais ça nous remonte le moral. Après la longue recherche du plus court chemin nous arrivons à la civilisation ! On a rendez-vous à la Migros avec monsieur Thorens qui conduisait le bus. Je suis à l’avant du groupe avec Lylah, Ilan et Jules et nous sommes les premiers à voir la grande inscription orange. Ilan commence à crier et rapidement tout le monde saute, crie, tombe sur les genoux et c’est l’euphorie générale. Il faut nous comprendre après quatre jours de marche sous la pluie dans la campagne. En traversant un tunnel on chante « We are the champions », je n’arrive pas à décrire la joie qu’on voit sur tous les visages. On nous donne dix francs chacun et deux heures de temps libre. Je crois que tout le monde va chez McDonals’s. J’ai trop faim et ma commande peut-être comparée avec l’or. Après notre repas abondant on part à la Migros chercher des boissons. Je marche dans le magasin avec Lylah et nous passons à côté des céréales. On remarque en même temps une couverture magnifique de FrootLoops. Elle est rose avec une licorne et un arc-en-ciel. À ce moment on sait qu’on va l’acheter. C’était prévu de dormir sous tantes cette nuit, mais le directeur du camping nous laisse dormir à l’intérieur. Les garçons dormiront dans un dortoir avec des lits et les filles dans une salle par terre dans nos sacs de couchage. C’est une maison en bois foncé avec une terrasse couverte, je crois que normalement c’est une salle à manger puisqu’il y a une cuisine dedans et les tables et les chaises sont rangées près du mur. Le sol est composé de carreaux céramiques. J’installe mon matelas et mon sac de couchage, on a l’air de migrants avec toutes nos affaires par terre. Après la douche on part manger dans une pizzeria où ils ont environ deux cents pizzas différentes. La mienne est bonne, mais je trouve rien de spécial. Je marche vers le cinéma, je n’ai pas très envie de voir un film car je suis fatiguée. Après un vote, le film choisi est quelque chose avec Tom Cruise. En sortant de cinéma je suis assez déçue, le film était très stupide. Je marche avec Lyah en silence et Ilan n’arrête pas de se plaindre, je n’écoute pas de quoi. Une fois arrivée dans le camping, je mets mon pyjama, je me couche et je m’endors dans la même seconde.

Nika, 10VP1


Camp de raquettes à Leysin, journal de bord

Le réveil sonne à 7h30. Je me lève puis je vais me débarbouiller, et je descends au réfectoire pour le petit-déjeuner. J’avale deux tartines et j’écoute les explications. Aujourd’hui, on fait du tennis du et de l’escalade. Ce matin, c’est mon groupe qui fait la vaisselle. C’est long, mais après une quarantaine de minutes, on se trouvait au centre sportif.

M.Presset nous annonce qu’il y a un changement de programme et qu’au lieu de faire du tennis, on va faire du badminton. Certaines personnes sont allées chercher le matériel de badminton au chalet. Dix minutes plus tard, on commence à jouer. Au début, on jongle, puis on sert et on finit par des matches en simple et en double. Je suis très nul en badminton et pourtant je termine à la cinquième place sur huit. Pour le repas, il y a de la salade et des pâtes. C’est encore à nous de faire la vaisselle, mais c’est la dernière fois. Cet après-midi, on fait de l’escalade. Je fais équipe avec Minyang, on arrive à monter rapidement toutes les parois. Il nous reste le dernier mur, le plus compliqué, un mur qui commence à la verticale et vers le milieu, il y a un angle de 45° et qui passe à moitié à l’horizontal. Minyang commence à monter, je l’assure, il arrive au milieu du mur et il doit passer son pied droit sur la prise, mais il se loupe et reste pendu dans les airs. C’est à moi d’essayer, je commence à grimper, j’arrive au même endroit que lui et là je dois mettre tout mon poids sur ma jambe gauche et basculer sur la prise en haut à droite, je me loupe aussi et tombe. Je m’élance et je rate la cible. Minyang réessaye mais sans plus de succès.

On rentre au chalet et on va à la piscine. Je me repose dans l’eau, car j’ai des douleurs aux bras à cause de l’escalade. On se douche à la piscine et on dîne. Ce soir, il y a un match, mais avec l’anniversaire de Fabio et le discours du directeur, le diner se termine à 21h00. M. Ahatri essaye de retransmettre le match, mais il n’y arrive pas. Alors que je me balade dans les couloirs, Gustavo me dit qu’il y a 1-0 pour Barcelone. Mais avant la fin du match, les profs nous envoient dormir. Jusqu’à que je m’endorme, je pense au score du match.

Mathukeeshan, 10VP1



Camp équitation, journal de bord

Le jour se lève, mon réveil sonne, je ne veux pas me lever ! Il sonne encore, puis c’est au tour de mon téléphone. J’ai déjà 5 minutes de retard sur le planning. Je me lève, vais manger puis prépare mes affaires. Quand je rejoins mon amie pour aller à la gare, elle n’est pas prête non-plus.

On arrive les dernières à la gare avec seulement deux minutes d’avances. Je ferai mieux demain. Quand j’arrive au centre équestre de Pampigny, j’apprends qu’on va faire de la voltige. Sur le coup, je suis super contente. Je me rappelle qu’étant petite, j’en avais déjà fait une fois. Je connaissais quelques figures comme le tour du monde ou l’avion.

Une dame du centre nous a fait une démonstration, puis on a fait un tournus sur deux chevaux, Lemon et Speedy. Je peux lâcher les mains au pas et au galop. Puis je me mets à genoux, c’était facile. J’apprends à monter sur le cheval quand il avance. Après ça, on mange des tortellinis aux légumes avant de prendre le train jusqu’à Morges. Dans le train, j’ai encore faim, alors je mange des biscuits.

Nous jouons au golf dans toute la ville de Morges. On se déplace d’un point à un autre avec facilité. C’était très long. On a commencé le tour par le château, pour finir à la gare. Pour passer le temps, j’ai pris plusieurs photos avec mes amies.

Après ça, nous avons repris le train pour Renens.

J’ai hâte de recommencer demain.

Bonne nuit journal !

 Cyprille, 10VP1  


 Camp cuisine