Contes revisités
Que se passerait-il si Blanche-Neige devenait championne du monde de boxe?
Si Barbe-Bleue avait les sourcils rouges, ou la barbe verte?
Si Cendrillon avait vécu à l’époque des pharaons ou que le chat botté rêvait d’un IPhone 8?
Les contés détournés écrits par les élèves de la 9G6 répondent à toutes ces questions, et plus encore…
Barbe verte
Il était une fois un homme très riche qui entraînait une équipe de basket, mais qui avait une barbe verte. Il entraînait très mal son équipe et le tournoi de basket approchait. Il eut une idée pour que son équipe gagne. Il avait engagé un tueur pour tuer tous les autres basketteurs et les enterrer dans un grand hôpital abandonné, avec leurs coachs.
Il n’hésita pas vu qu’il était très riche.
Il voulut tuer tous les concurrents puis il raconta son plan à ses basketteurs qui étais tous d’accord, puis le tournoi commença. La première équipe ne se présenta pas et leur coach non plus. Le jury attendit plus de trente minutes et commença à s’énerver, puis ils décidèrent de les déclarer forfait, et l’équipe de Barbe-Verte gagna.
Deuxième match : l’équipe était présente, mais Barbe-Verte avait payé les joueurs pour qu’ils se laissent battre. Et l’équipe de Barbe-Verte gagna encore une fois. Et ce fut pareil avec quatre autres équipes… jusqu’à ce qu’un entraîneur refuse et menace de porter plainte et de tout raconter au jury. Barbe-Verte prit peur et redemanda au tueur de les tuer et de les enterrer dans cet hôpital abandonné et jusqu’à la finale.
Mais une équipe avait remarqué que Barbe-Verte et son équipe tuaient ses adversaires et les enterraient. Ils avaient pris des précautions avec la police et avaient organisé un plan. Le plan était simple : la police leur avait demandé d’attendre qu’il leur propose une grosse somme pour perdre. Ce que fit Barbe-Verte, il leur proposa plus de cinquante millions de dollars ; ils acceptèrent. Le plan avait commencé. Quand le match débuta, tout se passa comme prévu.
L’équipe de Barbe-Verte gagna et ils sautèrent de joie, mais Barbe-Verte n’eut pas le temps de s’amuser avec eux car la police l’avait arrêté et menotté. Les autres policiers prirent avec eux l’équipe de Barbe-Verte et l’équipe adverse pour témoigner. Ils arrivèrent au tribunal et avouèrent tout.
Le jury condamna Barbe-Verte à la peine de mort, et ses joueurs à la prison à vie.
Argesa
Chloé
Il était une fois une très belle femme qui s’appelait Cléopâtre, elle avait une fille nommée Chloé. Son père était très riche. Mais un malheureux jour, il mourut. Cinq ans plus tard, Cléopâtre trouva l’amour auprès d’un homme très riche. Il avait deux filles, une nommée Aphrodite et l’autre Isis. Son nom à lui était Toutankhamon. Il épousa Cléopâtre. Toutankhamon n’aimait pas Chloé car, il voulait que Cléopâtre n’aime que lui et ses filles. Donc, pour se venger d’elle, il fit de Chloé l’esclave de la maison. Un beau jour, le prince Ramsès annonça une fête ou tous les V.I.P (Very Important Pharaons) seraient invités. Mais Toutankhamon ne voulait pas que Chloé y aille.
Le jour J arriva et Chloé était très triste, elle devait coiffer ses sœurs et les habiller ; elle devait faire toutes les tâches ménagères. Quelques heures plus tard, sa famille partit à la fête. Chloé fondit en larmes, elle voulait y aller. Elle descendait au sous-sol pour aller chercher un balai, un plumeau… quand tout à coup, une lumière s’alluma au-dessus d’une tombe. Il y avait une momie qui disait à voix très basse :
– Je suis ta marraine, la bonne momie.
Chloé ne comprit pas, elle lui demanda :
– Qui êtes-vous ?
– Je suis ta marraine, la bonne momie. Va me chercher le plus gros ananas que tu trouves. Chloé savait où en trouver, elle alla le chercher et le ramena à sa marraine qui le transforma en rakline (char égyptien). Elle transforma également des serpents en major d’homme. La marraine demanda également un rat qu’elle transforma en cheval.
– Va à la fête ! Tu voulais tellement y aller !
– Mais je n’ai pas de robe…
– Je vais régler ça. Bobidilolilipoups ! Voilà !
– Merci beaucoup.
– Vas-y, mais à 00h00 pétante, tous les effets de ma magie vont disparaitre.
Chloé arriva à la fête et elle commença à danser. Le prince Ramsès arriva dans la salle et vit cette jeune demoiselle et eut un coup de cœur. Il l’invita à danser et celle-ci ne refusa pas. Ils dansèrent ensemble toute la soirée.
À 23h58 Chloé se rendit compte qu’il était bientôt l’heure de partir. Elle courut vers la sortie et laissa tomber sa couronne, elle essaya de la récupérer mais le prince lui courait après. Elle monta dans sa rakline et partit chez elle. Elle arriva à minuit pétante et elle alla vite tout ranger. Le lendemain, Chloé entendit ses sœurs parler d’une nouvelle qui s’était répandue pendant la matinée. Le prince Ramsès avait dit qu’il allait chercher dans tout le royaume une jeune fille à qui la couronne retrouvée irait.
Quelques heures plus tard, le prince Ramsès toqua à leur porte. Aphrodite et Isis se bousculèrent pour ouvrir. Le prince commença par Aphrodite. La couronne était bien trop grande. Il l’essaya sur Isis qui avait une tête trop grande pour la couronne. Le prince demanda à Toutankhamon :
– Vous n’avez pas d’autres filles ?
Toutankhamon lui dit :
– Non !
Mais Cléopâtre cria :
– Oui, ma fille Chloé!
– Allez la chercher ! ordonna Ramsès.
Chloé arriva et Ramsès lui posa la couronne sur la tête.
Il se rendit compte que c’était elle la fille dont il était tombé amoureux. Il lui demanda :
– Mariez-vous avec moi.
Chloé répondit :
– Oui d’accord, je me marie avec vous.
Le mariage eut lieu et ils vécurent heureux jusqu’à la fin des temps.
Beatriz, Erisa et Valtin
L’Héritage des trois fils
À Los Angeles un monsieur était mort et avait trois fils. Un de ses fils reçut un gratte-ciel, l’autre eut un cheval, et le plus jeune eut un chat.
Les deux premiers frères dirent qu’ils pourraient gagner leur vie honnêtement en se mettant ensemble « l’union fait la force » quant à moi, dit le troisième, quand j’aurais mangé mon chat et que je me serais fait un manchon de sa peau, il faudra que je meure de faim. Le chat qui entendit ce discours, lui dit d’un air sérieux et énervé :
– Prends mes bottes et file-moi un IPhone 8 et je pars.
– Non reste, mais tu n’auras pas ton téléphone, t’en n’a pas besoin !
Le chat répondit : au revoir.
Le chat fit dix kilomètres à pattes et commença à faire du stop. Une voiture s’arrêta, et le chauffeur décida d’amener le chat chez lui parce qu’il lui avait raconté que son bon maître ne voulait pas lui acheter un téléphone à la place de ses bottes, donc il était parti. Le monsieur s’appelle Éric. Éric lui dit:
– Je t’adopte, tu es d’accord ?
Le chat lui demande :
– Tu m’offres quoi à Noël ?
Il lui répond :
– Je sais pas.
Éric lui demanda de prendre le livre de jouet derrière, et le chat répondit :
– « Waouh ! elle est grande votre voiture !
– Tutoie-moi… et oui elle grande ma voiture, ça s’appelle une limousine et derrière ça sera pour toi, je t’aménagerais pour toi ma belle et unique voiture.
Arrivé à la maison, le chat entra et passa un mois à la maison, tranquille, et Noël arriva, et il reçut un super bel iPhone 8.
Il fut super heureux que son maitre lui offre un IPhone 8, et pour lui c’était incroyable, il avait attendu ça longtemps.
Il eut Snap, Insta, Twitter, WhatsApp, etc. Et quand le chat offrit à son nouveau bon maître un dessin de la limousine, ils firent des selfies ensembles et furent super méga contents.
Léo
La Petite Poucette
Il était une fois une petite fille qui s’appelait Poucette car elle était restée dans la poussette jusqu’à ses dix ans. Ses parents étaient un couple d’avocats très riche et extrêmement occupés. Ils ne rentraient pratiquement jamais à la maison pour voir leur enfant. Poucette allait seule à l’école, le midi elle mangeait toute seule, et le soir elle les voyait juste une heure, et c’était comme ça tous les jours. Le week-end, c’était la même chose, sauf le dimanche où elle les voyait toute la journée, mais ils étaient tellement fatigués qu’ils dormaient du matin jusqu’au soir.
Un jour, alors qu’ils étaient à une réunion extrêmement importante, les parents de Poucette apprirent que pour continuer à gagner autant (voire plus) d’argent, ils devraient rester au travail 24h/24. Donc ils décidèrent d’abandonner leur enfant dans un parc un peu éloigné de chez eux. Les parents pleurèrent à l’idée d’abandonner leur seule enfant sans nourriture et sans habits chauds, mais ils étaient obligés de le faire.
Poucette entendit la conversation de ses parents depuis les escaliers et était totalement terrifiée à l’idée de ne plus être avec ses parents, au chaud. Le lendemain matin, en se réveillant, elle remplit un gros sac de branches. Il faisait encore nuit et elle avait très froid. Poucette rentra chez elle, et l’après-midi sa mère l’emmena au parc. Sur le chemin, elle posa plein de petites branches. Un peu plus tard, la fille jouait avec sa mère au foot. Celle-ci lança le ballon très loin pour que Poucette aille le chercher, et profita de cette occasion pour vite partir chez elle.
Comme prévu, Poucette suivit les branches jusqu’à chez elle. Quand elle arriva la porte était fermée. Pendant une semaine elle dormit dehors jusqu’à ce qu’elle se rende compte que ses parents ne reviendraient jamais. Elle prit une pierre pour casser une vitre et rentra chez elle. Poucette essaya d’appeler ses parents mais ils ne répondirent jamais.
Un jour, elle décida de vendre la maison et de ramasser tout l’argent. Quand l’acheteur acheta la maison, elle partit avec l’une des voitures de ses parents et acheta une autre maison, à deux heures de route de celle de ses parents. Elle était très riche et acheta une entreprise pour gagner encore plus d’argent.
Elle trouva un copain et vécut avec lui dans leur maison luxueuse. Elle était très heureuse et ne se souciait plus du tout de ses parents.
Amelle, Davide
Le Petit Poucet et la police
Il était une fois un homme qui s’appelait Poucet car il était petit comme un pouce. Poucet venait tout droit du Tcha. Il était recherché par la police car il avait tué ses parents quand il avait quatorze ans. Aujourd’hui, il en avait dix-sept. Il venait d’arriver à Londres. Puisqu’il ne savait pas où aller, il avait réservé un hôtel deux étoiles depuis le Tcha.
Poucet devait quand même passer par la douane, alors il donna son passeport, mais il était faux afin que personne ne le reconnaisse. Tout s’était bien passé, alors Poucet partit vers le centre-ville. Il allait vers la gare de Londres et avait pris un taxi pour y aller. Après quarante minutes, il arriva à Victoria Station. Il vit un groupe de policier et essaya de les éviter. Mais les policiers l’avaient vu, et le trouvaient bizarres. Les policiers allèrent vers lui et lui posèrent quelques questions :
– Hello !
Poucet dit au policier qu’il ne parlait pas anglais, mais français, et les policiers lui répondirent :
-Il n’y a aucun problème, nous parlons aussi français. Donc que faîtes-vous là ?
-Euh…je viens d’arriver à Londres… avant j’habitais au Tcha.
-Et maintenant, vous allez où ?
-J’ai réservé un hôtel pas loin d’ici.
-D’accord, alors on vous laisse, au revoir.
-Au revoir.
Mais les policiers l’avaient trouvé suspect pendant leur discussion, alors ils avaient placé un émetteur sur sa veste.
Poucet alla à l’hôtel, il transpirait à cause de ce qu’il venait de se passer… il avait eu très chaud. Une fois arrivé au poste de police ils regardèrent si cet homme était accusé de quelque chose.
Ils virent que Poucet était accusé de meurtre ! Alors les policiers se préparèrent en vitesse et allèrent arrêter Poucet à son hôtel. Ça faisait deux ans qu’ils essayaient de l’arrêter.
Une fois arrivés devant l’hôtel, les policiers allèrent chercher Poucet dans sa chambre. Ils avaient enfin réussi à l’arrêter.
Maintenant, Le Petit Poucet était en prison et tout le monde était en sécurité.
Ilenia
Rouge-Sang
Il était une fois une jeune reine qui attendait un bébé. Elle voulait une petite fille qui aime la boxe. À la naissance, la reine perdit beaucoup de sang, et appela sa fille Rouge-Sang. Elle mourut de suites de l’accouchement.
Rouge-Sang eut une belle-mère qui avait une fille du même âge qu’elle. Elle s’appelait Sara. Sa belle-mère avait une boule magique. Les deux filles grandirent, elles étaient passionnées de boxe, elles étaient de véritables rivales. Rouge-Sang plus forte que Sara, et sa belle-mère ne pouvait le supporter. Elle prit alors une décision et décida de la faire tuer, elle demanda à un de ses chasseurs de l’amener en ville puis de la tuer et de lui ramener son poing. Mais le chasseur ne put tuer Rouge-Sange car elle avait beaucoup de talents et elle était sympa.
Donc Rouge-Sang prit la fuite, le chasseur alla dans un cimetière, coupa le poing d’un cadavre et le ramena à la reine.
La reine demanda à sa boule magique qui était la plus forte entre Sara et Rouge-Sang et espéra que ce soit sa fille, mais au contraire la boule dit que c’était Rouge-Sang la meilleure.
Rouge-Sang marcha dans la forêt pendant quelques heures et trouva une petite maison toute mignonne, elle y rentra et vit six assiettes, six couteaux, six fourchettes, six petits gobelets elle se servit un peu de tout et elle alla dans la chambre. Il y avait six lits mais trop petits, donc elle assembla tous les lits et se coucha.
Les six elfes arrivèrent dans leur jolie petite maison. Dès qu’ils virent leurs assiettes, leurs gobelets, leurs fourchettes et leurs couteaux utilisés, ils se posèrent beaucoup de questions. Puis ils allèrent dans leur chambre, virent Rouge-Sang, et furent effrayés… mais elle avait l’air gentille, donc ils la réveillèrent gentiment.
Les six elfes posèrent pleins de questions à Rouge-Sang, et elle leurs expliqua tout. Rouge-Sang demanda au six elfes si elle pouvait rester chez eux. Les six elfes dirent oui, mais à une condition : elle devait faire toutes les corvées ménagères.
Mais sa belle-mère la trouva très vite grâce à sa boule magique. Elle alla chez les six elfes, déguisée en femme qui vendait des gants de boxe. Rouge-Sang, intéressée essaya une paire de gants et tomba dans les pommes. À l’intérieur, il y avait des épines qui contenait du poison.
Les six elfes arrivèrent, ils virent Rouge-Sang à terre. Ils organisèrent la cérémonie funéraire, puisqu’ils n’avaient pas les moyens de la guérir. Pourtant, il existait un moyen, il fallait qu’un prince champion de boxe lui fasse un bisou… mais ils ne trouvèrent personne.
Mais le jour de la cérémonie, un prince arriva, il demanda s’il pouvait essayer de la réveiller. Le prince embrassa Rouge-Sang qui se réveilla.
Le prince demanda Rouge-Sang en mariage. Ils se marièrent, eurent des jumeaux qui devinrent champion du monde de boxe. Ils vécurent tous heureux, la reine fut emprisonnée à vie, et tout le monde était content.
Azra, Jelena, Schadrac
Sourcils-Rouges
Un homme riche qui était moche et trouvait que ses sourcils rouges étaient moches n’arrivait pas à trouver une épouse car il était moche. Un jour il trouva quand même une femme qui accepta de l’épouser. Elle s’appelait Sandra. Ils tombèrent amoureux et se marièrent. Sandra était pauvre et devint riche grâce à ce mariage. Elle avait maintenant des bijoux, des colliers, des robes et des armoires pleines d’or.
Mais un jour Sourcils-Rouges partit jouer au foot. Il donna toutes les clefs des voitures luxueuses à sa femme mais lui dit qu’elle n’avait pas le droit de rentrer dans une voiture. Malgré la peur sa femme était curieuse.
Alors elle prit son courage à deux mains, et entra dans la voiture. Les fenêtre étaient noires on n’y voyait rien à l’intérieur. Elle vit quand même un homme qui était devant et qui était en train de dormir, il avait un masque noir et on ne voyait pas sa tête, mais on voyait du sang sur sa main et une hache à côté de lui. Elle ferma la porte doucement, et alla se coucher et ferma la porte de la maison. Quand l’époux revint à la maison, il trouva Sandra terrifiée et lui dit : ça va ? elle lui répondit : oui, ça va ! Sourcils-Rouges lui dit : tu as ouvert la porte de la voiture ? Elle lui répondit : oui maitre, je suis désolée, mais l’époux lui dit : je t’avais prévenue, maintenant tu devras l’assumer. Il prit la femme par les cheveux, et l’emmena vers la voiture et la mit à l’intérieur. Une amie à Sandra remarqua ce qui se passait et appela le père de l’épouse.
Son père courut pour sauver sa fille, mais il n’y arriva pas. Sa fille mourut, et la vie pour sa famille fut triste et un peux joyeuse, parce que l’autre fille de la famille eut un bébé. La vie c’est comme ça, il y a des hauts et des bas.
Vigan