Tags

Related Posts

Share This

concours écriture

Voici les trois meilleurs textes du concours d’écriture organisé pour les élèves du Léman, de 9H à 12H .

La Prairie Enchantée

Par Léonor 9VP3
Alors que Lynette s’avançait tout doucement en suivant le chemin orné de roses et de leurs pétales, elle sentit peu à peu un vent chaud et agréable lui caresser gentiment ses pommettes.
Peu à peu, elle commença également à sentir une odeur embaumante lui chatouiller les narines. Elle trouva cela très suave. Instantanément, il eut un rayon de soleil qui l’éblouit.
Lorsqu’elle put rouvrir les yeux, elle aperçut une porte, ornée de magnifiques iris. Un peu tremblante, Lynette ouvrit la porte et vit une merveilleuse prairie. Au pied de la porte se
trouvait un petit panier dans lequel était posé un vêtement et un mot qui exprimait : « Je savais que tu viendrais. Maman ». A ce moment-là, elle eut une petite larme qui coula sur
sa joue, une larme de bonheur. Car elle savait, qu’elle ne pourrait jamais partager cela avec elle.
Elle prit le vêtement et l’enfila. C’était une magnifique robe blanche avec une trainée d’au moins cinq mètres. Elle était très fine et souple et avait, par la même occasion, des bretelles
en satin. En la portant, Lynette vécu une sensation qu’elle n’avait jamais ressenti auparavant.
Elle se sentait libre. Elle enleva ses chaussures et posa délicatement un pied sur l’herbe.
L’herbe était chaude et très agréable. Elle avança tout doucement et vit peu à peu un très grand et magnifique Sol pleureur. Sur l’une de ses branches, il y avait une très jolie petite balançoire. Elle s’assit dessus, commença à se balancer légèrement et se dit : « C’est mon endroit, alors laissez y moi. »
Quelques minutes plus tard, elle se décida à aller explorer le reste de ce merveilleux paradis.
Elle se mit alors à courir légèrement en prenant soin à ne pas abimer sa très jolie robe. Elle le fit malgré tout en fermant les yeux, car elle savait, que rien ne pouvait lui arriver si sa mère
veillait sur elle. Commençant à percevoir un superbe Chêne, elle se décida alors de ralentir.
Sur l’une de ses épaisses branches s’y trouvait une adorable petite cabane. Lynette vit par la même occasion une petite échelle pour y monter. Elle y grimpa. Lorsqu’elle se trouva au
sommet, elle poussa légèrement la porte et entra. Le plafond était assez haut pour qu’elle puisse y rester debout sans problème. Au premier abord, la jeune fille comprit immédiatement qu’elle avait appartenu et avait décoré par sa jeune mère, parti beaucoup trop tôt. Il y avait un petit coin lecture qui se trouvait à droite dès l’entrée. Dans ce coin se trouvait un très joli petit fauteuil couleur ambre. Un peu plus loin, il y avait également une toute petite voire minuscule étagère où se trouvait une vingtaine de romans. En face du fauteuil, on y distinguait une table basse sur laquelle était posé un journal intime et une tasse de thé froid.

La belle jeune fille s’assit, prit le livre délicatement et commença à le lire. Elle avait tout desuite compris qu’en lisant ce journal, il lui resterait pour aujourd’hui et pour toujours, qu’importe ce qu’elle vivrait par la suite, qui lui resterait une trace de son passé, de sa mère.
Au fur et à mesure qu’elle avançait dans la lecture, Lynette se rendit compte qu’elle aurait dû passer plus de temps avec sa mère, car elle avait su qu’elle se ferait de toute manière ces reproches.
Même si elle voulait que ce moment dure toute la journée, toute sa vie, elle savait qu’il était temps, temps pour elle de rentrer. Elle posa le journal, contempla une dernière fois la cabane, et partit. Lynette fit le même chemin qu’à l’aller, mais cette fois : pour le retour. Lorsqu’elle distingua les formes de la porte ou était posé ses vêtements, elle ralentit le plus possible mais sans s’arrêter. Elle se changea, prit encore quelques minutes pour contempler ce merveilleux endroit et ferma délicatement la porte. Elle fut un peu triste, mais elle se dit que même si sa mère n’était plus là pour elle, elle avait compris qu’elle viendrait, pour pouvoir partager ce lieu ensemble, même si l’une était parmi les étoiles.

At First sight?

par Harvey 11G4

L’histoire prend place dans la petite ville de Jackman Maine aux Etats-Unis dans les années septante. Des cabanes en bois au large, des stations services par-ci par-là, un beau lac que tout le monde adorait, surtout en été car le lac les sauvaient de toute la chaleur.Une belle journée d’été, pendant la canicule, les familles décidèrent ainsi d’aller au lac, faire une grillade, se promener et faire plein d’autres activités. Mais la famille des Anderson eut une autre idée.Les Anderson avaient un magasin qui avait été passé de génération en génération, leur magasin était le magasin de cette petite ville, elle vendait de la nourriture, ce dont on avait besoin au quotidien,des médicaments et beaucoup d’autres choses. Cette année, le cadet de la famille des Anderson eut 16 ans, c’était l’âge parfait pour conduire et boire des bières. Le jeune homme s’appelait, Milo Anderson, un jeune homme venant d’une famille purement Américaine. Milo voulait enfin pouvoir faire la fête avec ses amis, mais à la place, son père le condamna à rester travailler au magasin.Le jeune homme fit tout ce qu’il put pour convaincre son père de ne pas travailler mais ne réussit pas. Le soleil se leva, Milo entendit son père hurler à travers la maison, il regarda l’heure, seulement six heures. Il essaya de se rendormir mais il échoua misérablement, les cris de son père devinrent de plus en plus fort, le jeune homme soupira. Il sortit de son lit et alla prendre une douche. Une longue douche plus tard,le jeune homme était enfin réveillé, il se changea et partit manger. Il arriva à la cuisine, il salua sa mère, sa grande sœur,sa grand-mère, l’aîné était déjà parti de la maison et en dernier il salua son père sans faire aucun effort. Milo prit une assiette, du bacon, des gaufres, des œufs.. Et pour finir du oatmeal,il finit par reprendre un œuf et trois bouts de bacon, il s’assit à la table et mangea seul. Son père se dirigea vers lui et dit quelque chose mais il n’écoutait pas, tout ce qu’il savait c’était qu’il devait aller travailler ce jour-là, pendant la journée la plus chaude du mois. Milo finit de manger, il lava son assiette, se brossa les dents rapidement puis il alla directement au travail, il décida de prendre la voiture de son père, autrement dit un “Pick Up Truck”. Il changea la chanson qu’il y avait et mit sa station préférée, sur le chemin du travail, il vit du coin de l’oeil, un jeune homme, un poil plus grand que lui, les cheveux brun clair presque châtain. En se basant sur ce qu’il avait vu de l’homme, il se fit une estimation de son âge. Le feu devint vert et il continua à rouler tranquillement, les routes étaient presque vides, tout le monde était au lac.Il arriva en quelques minutes à son boulot, il éteignit la musique et soupira, il sortit de la voiture et se dirigea vers le magasin où il ouvrit la porte et tourna le panneau pour dire que le magasin était ouvert. Le jeune homme avait créé un moyen afin d’être plus efficace: préparer toute la nuit d’avant. Son père n’aimait pas cette idée car il pensait que c’était stupide et que ça montrait à qu’elle point son fils était paresseux. Mais son fils ne lui avait accordé aucune attention et fit comme il pensait. Milo n’avait pas grand chose à faire cette journée, tout ce qu’il devait faire c’était attendre les clients. Le jeune homme ne s’attendait pas à ce qu’un client entre dans le magasin, il décida donc d’aller à l’arrière vers les congélateurs où il faisait froid. Il se posa sur un coin avec un magazine, des heures passèrent et le jeune homme essaya de ne pas s’endormir quand soudain il entendit la porte s’ouvrir déclenchant la sonnette, il se leva et sortit de l’arrière du magasin.Il marcha vers la caisse et accueillit le client. Il leva les yeux de son magazine et vit le même jeune homme au cheveux châtain, ses yeux s’écarquillèrent, il eut des sentiments qu’il ne connaissait pas.Le jeune homme aux cheveux châtains lui sourit et fit un tour du magasin, des minutes passèrent, Milo ne savait plus quoi faire en attendant.Il fit un tour du lieu et vit l’inconnu, il lui demanda si tout allait bien, le client lui sourit, il était prêt à payer. Les deux jeunes hommes se dirigèrent à la caisse. Pendant que Milo scannait les articles, il posa des questions à son clients.Pendant tout ce temps Milo ne pouvait pas s’empêcher de ne pas regarder le garçon devant lui, il avait un air aimable, pendant cette petite discussion il avait appris que le jeune homme venait de déménager à Jackman, il avait 17 ans, il s’appelait Rick et il était originaire du Nebraska.Après cette discussion, Rick finit par payer et partit tout en saluant son nouvel ami. Pour la première fois Milo avait un ami, pour une fois il ne se sentait pas seul ou exclu du monde.Le jeune homme n’avait plus rien d’autre à faire, il prit une bière et s’assit de nouveau à l’arrière du magasin.Plusieurs heures passèrent sans un autre client, le soleil se couchait doucement, il laissa tout en place et partit.Sur son chemin,il vit son ami, il avait ralenti afin de saluer son ami, le jeune homme offrit de l’emmener chez lui mais Rick ne le voulait pas.Milo comprit et rentra chez. Arrivé chez lui, son père était affalé sur le canapé endormi avec une bière à la main et d’autres bouteilles autour de lui.Sa mère dans la cuisine préparait le dîner et sa sœur était chez son copain.Il salua sa mère rapidement et alla dans sa chambre, le jeune homme commença à douter de lui-même et de ses sentiments envers son nouvel ami. Milo se changea et rejoignit sa mère dans la cuisine afin de l’aider.Milo était toujours un bon garçon, il aidait toujours les gens de son entourage, était respecté, mais personne ne savait que Milo était différent de tout le monde. Milo était un homme bisexuel et dans les années septante être bisexuel, gay, lesbienne ou même transgenre était mal vu..

Après avoir mangé, la nuit sembla s’accélérer. Les jours se répétèrent, se lever, se doucher, se changer, saluer la famille, manger, se brosser les dents, aller au travail, attendre des clients.De temps en temps il y avait des clients,mais pas plus de dix, c’était les vacances d’été… Puis, fermer le magasin, rentrer, se changer, aider à cuisiner et nettoyer pour au final aller dormir. Milo s’était déjà habitué à cette routine, mais il réalisa rapidement que son nouvel ami Rick ne venait pas au magasin, il ne savait pas où il habitait et ne connaissait pas son numéro de téléphone. Rien. Le jeune homme sentit comme si maintenant il n’avait plus personne.Ses sentiments pour son ami se développaient de plus en plus même s’il n’avait seulement vu ce jeune homme qu’une fois. Ce jour là était comme tout autre jour, une autre canicule, le jeune homme se dirigea rapidement à l’arrière du magasin, une trentaine de minutes passèrent quand il entendit la porte s’ouvrir. Il sortit de l’arrière avec une bière et vit son ami.Milo était soulagé que son nouvel ami soit encore à Jackman. Milo le salua mais son ami ne dit rien, il n’y avait que silence. Rick fit le tour du magasin et revint avec plusieurs choses, du pain, du lait, des pansements. Milo se fit du soucis pour son ami mais il ne le montra pas, il leva sa tête et rencontra les yeux de son ami.Soudainement, les deux jeunes hommes eurent le sentiment que le monde était devenu silencieux. Milo réalisa qu’il le regardait, il finit rapidement de scanner les articles et vit son ami avec un petit sourire. Sous son souffle, il complimenta les yeux de son ami. Rick prit son sac, laissa tomber quelque chose et partit rapidement. Milo vit qu’il avait fait tomber quelque chose et le prit, c’était un mot, le mot lui disait de le rencontrer après son travail au lac.Milo sourit et partit à l’arrière. Le jeune homme ne pouvait cesser de penser aux yeux de son ami, pour lui ces yeux étaient magnifiques. Il avait des yeux brun clair, mais Milo y voyait bien plus, dans ses yeux, il voyait monde. Les heures passèrent, enfin l’heure de partir, il organisa le magasin rapidement et sortit. Sur son chemin pour aller au lac il vit des gens rentrer chez eux, il arriva au lac et vit son ami. Le jeune homme sortit de la voiture et alla vers lui. Rick lui sourit et lui fit un câlin, pour la première fois, Milo s’était senti confortable, lui qui attendait ce moment avec impatience et il s’était enfin réalisé. Milo se détacha, il prit une respiration profonde et exprima son béguin à son ami Rick écoutait chaque mot avec un sourire, Milo ne savait pas où regarder, à la fin de son discours il vit Rick lui sourire. Le jeune homme sourit à son ami et lui fit un câlin, Rick expliqua que lui même était un homme d’orientation homosexuelle. Pendant tout leur temps ensemble ils ne surent pas que quelqu’un les écoutaient. Après deux heures passées au lac, Milo ramena son copain chez lui puis il rentra. Il entra dans la maison de bonne humeur,un sourire aux lèvres. Il ouvrit la porte, à sa surprise son père était réveillé le jeune homme le salua quand,de nulle part,son père l’engueula de toutes ses forces.Le jeune homme n’en croyait pas ses oreilles, sa soeur et sa mère étaient dans le coin de la pièce en pleure, soudain il réalisa rapidement que son père était au courant. Le jeune homme garda la tête haute et engueula son père à son tour,plus fort.Monsieur Anderson resta silencieux, quand le jeune homme termina,il partit dans sa chambre et réalisa que toutes ses affaires étaient dans des sacs, il les prit et alla à l’entrée. Avec un sourire,il partit en prenant la voiture. Milo partit rejoindre son copain qui lui était sur les escaliers en pleure.Quand Rick vit son copain devant lui il se leva et jeta ses bras autour de cou de Milo. Les deux jeunes hommes entrèrent dans la voiture avec toutes leurs affaires.Pendant que Rick dormait, Milo conduisait sans vraiment savoir où ils allaient. La route les mènerait quelque part où ils pourront être un couple libre…Fin

Texte 3 par Evie 9P2

J’ouvre lentement les paupières et immédiatement je suis éblouie par le soleil levant.Une fois que mes yeux se sont habitués à la luminosité j’observe les alentours. A l’horizon le soleil de l’aube se reflète dans l’eau scintillante. Autour de moi tout n’est qu’une étendue d’eau et dans le ciel quelques oiseaux matinaux volent déjà à la recherche de petits poissons. Je m’étire manquant de tomber de mon hamac et me laisse glisser le long du cordage jusque sur le pont du bateau. Je rejoins ma cabine où j’aurai dû dormir mais hier soir j’ai préféré observer les étoiles. Je me change et enfile une large chemise sous un corset bordeaux. Pour le bas je choisis une longue jupe noire et de hautes bottes à lacets de la même couleur. Ensuite j’attache mes boucles brunes en une tresse lâche qui repose sur mon épaule. J’attrape un morceau de charbon et noircit le contour de mes yeux ambrés. Je glisse un sabre dans un bandeau rouge foncé qui me sert de ceinture.Je rejoins ensuite le reste de l’équipage qui est déjà rassemblé dans mon bureau-qui sert aussi de salle à manger. Je le sais car j’entends des bribes de conversations. Il y a Cat la cuisto, Pat le canonnier, Rhen le mousse, Zila la seconde et enfin moi Harper, la Capitaine. Notre bateau s’appelle le « Grey City ». Nous sommes de modestes pirates à la recherche de petits trésors. Juste de quoi payer nos réserves de nourriture quand nous faisons escale dans les villes portuaires -une fois par mois. Au moment où je rentre, j’entends le mot kraken. Ils parlent sûrement de cette légende si connue dans le monde des pirates. Elle raconte qu’un kraken dévorerait des bateaux entier et leur équipage ce qui expliquerait les mystérieuse disparition de navire. Mais je n’y crois pas, les kraken n’existent pas. J’ouvre la porte et salue tout le monde de la main puis je m’assied sur la place qui m’est réservée, en bout de table. Je me sers un bol de porridge et tout en l’avalant j’explique la direction à prendre pour arriver à San-Diego, la prochaine ville où nous ferons escale dans une semaine environ. Une fois que tout le monde a fini de manger chacun reprend son poste.Le soir alors que le soleil est couché depuis au moins une heure, je jette l’ancre pour la nuit quand soudain je sens qu’elle heurte quelque chose. J’appelle alors tout l’équipage et nous remontons le plus gros coffre que j’ai jamais vu. Avec l’aide de Zila nous le déposons à l’abri dans ma cabine, puis tout le monde va se coucher. Le lendemain matin, je suis la première à me réveiller. J’observe le coffre qui se trouve à coté de mon lit. Hier, je n’avais pas eu le temps de bien le voir à cause de l’obscurité alors cette fois-ci je prends le temps de bien l’observer. Il m’arrive à peu près à la taille et il est d’un vert sûrement magnifique dans sa jeunesse mais aujourd’hui délavé certainement à cause des années passées sous l’eau. Le bois a gonflé et le métal s’est rouillé ainsi que le cadenas. Il est impossible à ouvrir à main nue et je n’ai pas la clé. Je brise alors le cadenas d’un coup sec de mon sabre. Mais j’attends que l’équipage soit au complet pour découvrir le trésor que renferme ce coffre.Une fois que tout l’équipage est rassemblé, je retiens mon souffle, soulève le couvercle et là quelle déception! Il y a juste un vieux carnet aux pages vierges. Je pousse un soupir, attrape le journal et l’accroche sur une corde pour le faire sécher.Plus tard, en fin d’après-midi, une fois que le carnet est sec, je décide de le reconvertir en journal de bord. Je commence par raconter ma journée mais au fur et à mesure que j’écris, mes phrases disparaissent et des réponse apparaissent à la place.Je n’en parle pas à mon équipage de peur qu’on me le vole. Plus tard, après avoir mangé et vérifié que tout allait bien sur le navire je vais me coucher. Soudain, je suis réveillée par des coups de feu et de canon. Je sors de ma cabine le plus vite possible, laissant le précieux journal sur mon lit. Un navire ennemi nous attaque nous tirant d’énormes coups de canon dans la coque.Le spectacle est effroyable. Pat le canonnier enclenche les canons le plus vite possible, les voiles ont pris feu, quant au reste de l’équipage chacun se bat au corps à corps contre un membre de l’équipage ennemi. Je vois le capitaine ennemi rentrer dans ma cabine pour prendre le carnet quand tout d’un coup je sens une vive douleur dans l’épaule, je baisse les yeux et je vois qu’une balle m’a touchée. Je perds l’équilibre et bascule par dessus la rambarde. Dans ma chute, j’essaie de me raccrocher au bord de la rambarde mais je la manque d’au moins 30 centimètres. L’eau glacée me coupe le souffle et j’ai juste le temps d’entendre Zila crier « Capitaine! Nonnnnn!!! » alors que je sens un tentacule géant m’attirer vers les profondeurs. Finalement peut-être que les krakens existent vraiment…